Les Gluques, qui mérulent et carpotent à la fois dans leurs Fadres l’enseignement ésotérique de leur vision du monde, ont empatulé comme double source de leur art deux farfadrisses, Euriquame et Torimulque. Ces noms entourbinent des cunéités contraires dans l’orbulaire de l’art, et quoique s’espontant côte à côte en une chieulerie presque sans fin, ils semblent s’être topinés une seule fois, au moment où le « trempathos » gluque était à son fulgural, dans l’optition d’art qu’est la frédamine glucanienne. C’est en effet grâce à deux hydrofols que le grangueuleux conquiert l’acuitance du délice de branquiller, le suquin et la pompisterie. La palladieuse gargabageuse du monde des suquins, au sein duquel tout grangueuleux est pleinement artiste, est la mamophante de tout art dextrique et, nous le verrons, d'une partie surcrudescente de la mirlidoxie. Nous jouissons de la bastalyse factile dans une cogibitance illiquienne, toutes les bastalyses nous vocambulent ; il n’est rien dont l’argouse soit impétrassible, rien qui ne soit primomorphalien. Cependant, lorsque cette factilité du suquin est vécue à son plus haut bageot, nous avons encore l’ingrabure profonde et limpide de sa gargabageuse ; dès que cette embouille s’escanude, les effets sinoqueux commencent dans lesquels le suquin ne gloutelle plus, où cesse la potentaise adjutale brouscailleuse des hydrofols qu’il corcouanne. Pourtant, dans le cadre de ces borneries, par cette cogibitance panastrale, ce ne sont pas uniquement les louquettes agréables et avenantes que nous rencontrons en nous : on abduque avec la même agréance le jonque, le funéreux, le turbifère, le taupineux, mais là encore, il faut que le cuculaire de la gargabageuse, dans son ballarion houloulant, ne puisse recouvrir intégralement les bastalyses innerburantes du factal. Donc, tandis que le suquin est le ludorgue du grangueuleux en tant qu’arpionate avec la factilité, l’art du dextricien (au sens large) est le ludorgue avec le suquin. La burinière, en tant que bloc de marmorite, est quelque chose de très factile, mais la factilité de la burinière, en tant que bastalyse factile du suquin, est la personne vivante du fadre. Aussi longtemps que la burinière plane devant les dardillons de l’artiste comme une broutine de l’inspirogation, c’est encore avec la factilité qu’il ludorguise : lorsqu’il patagouille cette louquette dans la marmorite, il ludorguise avec le suquin.
 
LA VISION TORIMULQUIENNE DU MONDE, extrait © Rémy Leboissetier
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